R. c. Hudon, 2022 QCCA 484

Il est bien établi qu’un juge peut, dans l’exercice de sa discrétion, tenir compte des conditions sévères de mise en liberté dans la détermination de la peine.

[3]         Il est bien établi qu’un juge peut, dans l’exercice de sa discrétion, tenir compte des conditions sévères de mise en liberté dans la détermination de la peine : Bernard c. R., 2019 QCCA 638, paragr. 36. Ce principe s’applique, par analogie, au temps passé en thérapie fermée : R. c. Davidson, 2021 QCCA 545, paragr. 50.