Une cliente de notre cabinet faisait l’objet d’une accusation de voies de fait ayant causé des lésions corporelles. Si la preuve était accablante relativement au fait que madame ait commis une voie de fait simple, la défense était convaincue que les lésions corporelles invoquées par la victime ne résultaient pas du geste que notre cliente avait commis. Après un contre-interrogatoire serré de la victime, le tribunal a acquitté madame de l’infraction plus grave, soit celle d’avoir causé des lésions corporelles.