Published on 16 February 2019
Retenir quelqu’un de façon momentanée n’équivaut pas à de la séquestration
R. v. Palmer-Coke, 2019 ONCA 106 Dans cette affaire, le juge de première instance condamne l’accusé de séquestration, retenant que ce dernier a agrippé sa victime par les cheveux, l’empêchant de quitter les lieux et restreignant ainsi sa liberté de façon momentanée. La Cour d’appel de l’Ontario, conclut à l’erreur du juge, notant que l’accusation […]